(Je n'ai pas la télévision)
Un ami me raconte parfois certaines émissions vues, qui le subjuguent par leur médiocrité.
Il se dit alors littéralement riveté à l'écran, effaré par le fait qu'autant de néant puisse être diffusé à la télévision (que je n'aurai décidément pas) : il s'avoue fasciné par la nullité.
Il en va de même (notre époque a sa cohérence) de certains auteurs qui vivent médiatiquement et fondent une notoriété sur des textes d'une fascinante nullité.
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